Saturday, October 03, 2009

P.L.M.B. (Pathological Lying Mutant Bird)


Dossier de Presse
Question : Qu'est-ce-que le MUTANT ROCK ?
Réponse : Il peut être décrit plus facilement avec 4 lettres: P.L.M.B. (Pathological Lying Mutant Bird).
L’évidente question suivante serait: Qu’est-ce-que P.L.M.B. ?
La réponse simple serait : « les pionniers d'un nouveau genre de musique appelé « Mutant Rock ».
Dans cet article, je ferai de mon mieux pour décrire cette nouvelle scène qui m’a laissé complètement déconcerté et enthousiaste.
J'ai découvert ce groupe dans un club de Paris alors qu’il délivrait un des sets les plus électrisants qu’il m’ait été donné de voir. Je ne sais pas trop d’où ces gars débarquent, mais je pense pouvoir affirmer que c’est un endroit plutôt ravagé, à haute teneur radioactive.
P.L.M.B. fait partie du label Siamese Dogs Records, label culte du début des années 70.
Début 1971, Philippe Mogane, co-fondateur, photographe rock de son état, en quête de pur Rock ‘n Roll et de liberté, s’embarque pour les USA. Excité par la sortie du L.P. « 1969 » des Stooges, Mogane va jusqu’à Détroit dénicher le groupe, qui allait être à l’origine d’une nouvelle ère musicale. Durant les mois qui suivent, il devient ami des Stooges et décide de fonder Siamese Dogs
Records avec le guitariste James Williamson (de l'album « Raw Power») comme Vice Président. Et en avril 1977, ils publient les désormais classiques "I Got A Right" et "Gimme Some Skin" des Stooges, lesquels selon les dires de Joey Ramone, contribueront à alimenter la scène Punk New–Yorkaise.
30 ans plus tard, Siamese Dogs Records est de nouveau prêt à vous distiller de vrais délires Rock ’n Rolliens. Le résultat d’un électro choc entre Mogane et le groupe inventeur du « Mutant Rock» : P.L.M.B. Dirigé par Buddy A, un « psychopathe de dessins animés », P.L.M.B. secoue les « égouts parisiens » en attente de l'explosion que tout Rocker espère; une révolution pour les oreilles des amateurs d’authentique Rock ‘n Roll du monde entier.
Je vais maintenant divulguer la recette « Mutant Rock» du cocktail P.L.M.B. :
Commencez par une bonne dose de Punk attitude façon Iggy Pop, ajoutez une pincée de poésie torturée à la Johnny Thunders. Prenez quelques grains de stupidité du power trio Green Day et agrémenter le tout d’une cuillère de démon rongeant l’âme de Nirvana. Terminer avec un zest de l’efficacité de Clash et des Ramones. Bien agiter, verser et servir. Eviter d’utiliser une paille. Buvez cul sec en penchant la tête.
AVERTISSEMENT : Tout le monde n’est pas habilité à boire ce cocktail.
Imaginer mon état à la fin du concert ! … Enthousiaste, j'ai joué des coudes pour rejoindre les membres du groupe et leur poser quelques questions « post-show ». Malheureusement, le batteur s’était évaporé dans la nature. Et arrivé à la hauteur du bassiste, celui ci m’a jeté un regard brusque du style "No Comment" et du coup je n’ai pas insisté.
Si jamais vous avez l’occasion de le croiser, vous comprendrez pourquoi !
Heureusement, j’ai réussi à attraper le guitariste/chanteur et à le bombarder de questions, ce qui eût pour effet d’engendrer plus de difficultés que de réponses.
Cet énergumène, probablement échappé d’un asile psychiatrique, proféra à mon endroit une cascade de sons gutturaux ne ressemblant à aucun langage connu, puis disparut en coulisses.
Au bout du compte, je suis resté coincé sans personne pour partager ces « nouvelles saveurs mutantes » dans ma bouche.
Depuis, je traque ces musiciens avec l'espoir de faire la lumière sur les mystères de P.LM.B. et débusquer l'ère du « Mutant Rock» qu’ils cachent dans leurs « tripes ».
Restons en contact pour les prochaines étapes de ce voyage au long cours.
- Journaliste Inconnu (disparu depuis la parution de l’article).

Guide de l'explorateur de l'univers P.L.M.B

P.L.M.B. voit le jour à la fin de l'année 2003 à l’initiative du chanteur / guitariste Buddy A.
L’influence de la “mode” EMO, à son apogée aux États-Unis, fut le détonateur à contre courant de P.L.M.B.
En réaction, Buddy A crée avec Buddy B, son ami de longue date, un Rock ‘n Roll dont la « fun » attitude se base principalement sur un chant de voix solo et des jeux lyriques.
Installé dans un petit appartement de New – York, ils grattent les premières notes de ce qui va devenir le son P.L.M.B. Enregistrant sans relâche et organisant des concerts, ils se mettent à la recherche d’un label et signent avec Siamese Dogs Records.
C’est à New - York qu’ils enregistrent leur premier album : 27 chansons, dans lesquelles on décèle des influences aussi variées que le « Raw Power » d’Iggy Pop & The Stooges, le « Nevermind » de Nirvana", le « Rocket To Russia » des Ramones et la période solo de Johnny Thunders.

En 2008, désireux de conquérir l’Europe, Mr Buddy A emballe ses guitares et prend le premier avion pour Paris. Avec Siamese Dogs, ils promeuvent quelques concerts pour le lancement du premier E.P. (5 titres) : “Dead Moves-Not The Puzzle”.
Début 2009, c’est LA rencontre avec le bassiste, The DuDe, qui incarne la même passion Rock ’n Roll et un parcours similaire. Buddy A et The DuDe deviennent dès lors le "yin » et le « yang" de P.L.M.B. et sont rapidement rejoints par M. Maow, batteur et ami de longue date de The DuDe, pour former l’un des power trio les plus puissants à ce jour. Une parfaite alchimie qui coïncide avec la sortie en octobre 2009 du premier L.P. de P.L.M.B. : "Kill 1 Mutant Bird With 2 Stones», PM 1004 SDR, mauvais jeu de mot sur le proverbe français « faire d’une pierre 2 coups » devenu : « faire de 2 pierres 1 coup ».
Voilà ! Maintenant les morceaux “Mutant Rock” du groupe sont autant de « bombes à retardement » prêtes à vous exploser à la gueule. Ecoutez la Green Day-esque "Butter Sauce", le heavy “Queen Can’t Honas”… ou bien le blues punkifié de"Cancel The Cancelled Cancellation", vous saurez tout de suite que ces gars sont là pour tout faire péter !
Membres du groupe
Buddy A : Guitariste / chanteur
J'ai grandi en écoutant de la musique, mais je n’ai commencé à « en faire » qu’à partir de l’âge de 16 ans. Le premier instrument sur lequel j’ai tenté de jouer, était une Fender Squire qui m’avait été offerte en décembre 2000. Je me suis précipité pour écrire des chansons que j’ai enregistrées ensuite dans le studio de mon voisin. Au cours de l'été 2001, des amis m'ont dit qu'ils cherchaient un leader pour leur projet musical. Malgré l’absence de toute expérience en tant que chanteur dans un groupe, j’ai décidé d’essayer et cela modifia mon destin.
La musique devint ma vie. Après avoir entendu notre premier enregistrement, j'eus tellement honte de ma voix que je quittais définitivement le groupe et le chant pour aller à New - York fréquenter une école d'Art. C’est là que je me suis aperçu que la musique était ce à quoi j’aspirais artistiquement et je me suis attaché à développer mon talent musical. Grâce à cela, je suis parvenu à créer le style de P.L.M.B., dont la principale originalité réside sur la voix mixée à l’opposé du « dogme » EMO, dont j’ai pris le total contrepied.

The DuDe : Basse & Choeurs
Fan de musique depuis son plus jeune âge, The DuDe ne commença à pratiquer la musique qu’à l’âge de 17 ans, attrapant dès lors le virus. Très vite, il démarre son apprentissage en jouant avec le plus de groupes possibles (P.L.M.B. étant son 21e à ce jour), élargissant ainsi considérablement son univers musical (Funk, Punk, Grunge, Jazz, Pop, etc.…). Fort de cette pluri-universalité, The DuDe crée son propre style de basse, qu’il décrit lui-même comme « le groove du Funk et l’attaque du Punk ». Il rencontre Buddy A en 2009 et sans même une seule note de musique jouée, une étroite collaboration s’installe : alter-ego l’un de l’autre (autant physiquement, musicalement que philosophiquement), ils fabriquent le cocktail Molotov musical, signé P.L.M.B.

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